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Processus de résolution du Conflit du Karabakh – Point de situation au 02/06/23

Les dossiers que nous suivons : Processus de résolution du Conflit du Karabakh ; Point humanitaire et sécuritaire au Karabakh et dans le corridor de Latchin ; Conflit Abkhazie et Ossétie du sud / Géorgie ; Relation Géorgie – UE / US/Russie/Ukraine et politique intérieure géorgienne ; Problématiques énergétiques, commerciales et de transport sud-caucasiennes ; Droits de l’homme au sud-Caucase ; Diverses politiques extérieures Arménie, Azerbaïdjan et Géorgie.

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Le discours du président azerbaïdjanais Ilham Aliev le 28 mai à Latchin selon lequel «un traité de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie est possible s’ils disent : le Karabakh, c’est l’Azerbaïdjan ! […] S’il [le traité de paix] est signé, c’est très bien, mais même s’il n’est pas signé, l’Etat azerbaïdjanais ne peut pas avoir de problèmes à cause de cela. Parce que nous sommes le camp le plus fort, c’est nous qui avons une position forte à la table des négociations, c’est nous qui avons une position forte à la frontière. Même si le traité de paix n’est pas signé, nous vivrons confortablement et en toute sécurité. […] Le poste frontière établi à la frontière le 23 avril devrait être une leçon pour les Arméniens vivant aujourd’hui dans la région du Karabakh. […] le livre du séparatisme est fermé. […] Par conséquent, il ne reste qu’une seule option : obéir aux lois de l’Azerbaïdjan, être un citoyen azerbaïdjanais loyal et normal, jeter les faux attributs de l’État à la poubelle et dissoudre le «parlement». […] Nous sommes simplement patients. Cependant, tout le monde sait parfaitement que nous avons aujourd’hui toutes les chances de mener n’importe quelle opération dans cette région. […] Par conséquent, le «parlement» doit être dissous, l’élément qui se dit «président» doit se rendre, tous les «ministres», «députés» et autres doivent renoncer à leurs fonctions. Ce n’est que dans ce cas qu’une concession peut leur être faite. Ce n’est que dans ce cas que l’on peut parler d’amnistie» a fait l’objet de nombreuses critiques de la partie adverse.

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