Les dossiers que nous suivons : Les relations de l’Iran avec ses pays voisins; l’Iran et les BRICS
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Des signaux de détente entre l’Iran et les États-Unis ?
Avant sa réélection en septembre 2024, le président Trump avait souligné l’importance d’un accord nucléaire avec l’Iran et, à la fin de janvier 2025, a réaffirmé son espoir d’y parvenir, annonçant qu’il rencontrerait bientôt « des personnes de très haut niveau » pour en discuter.
Du côté iranien, des signaux ont également été envoyés concernant une ouverture aux négociations et une volonté de parvenir à un accord sur le programme nucléaire. A la mi-janvier 2025, lors d’une interview accordée à NBC News, le président iranien Masoud Pezeshkian a laissé entendre qu’il était prêt à dialoguer avec les États-Unis, affirmant qu’en principe, l’Iran était ouvert au dialogue avec l’administration Trump, engagé à prioriser la paix régionale, après avoir offert l’assistance de son pays lors des incendies de forêt à Los Angeles quelques jours plus tôt. Plus récemment, le politicien réformiste iranien Kamal Kharrazi, président du Conseil stratégique des relations extérieures de l’Iran et conseiller proche du Guide suprême, l’ayatollah Khamenei, a confirmé la volonté de l’Iran de négocier, à condition que les États-Unis adoptent une approche constructive. Quelques jours plus tôt, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Esmaeil Baqaei, a réaffirmé que l’Iran avait, à plusieurs reprises, signalé sa volonté de reprendre les pourparlers si l’autre partie était sérieuse à ce sujet.
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